Pour aller à l’essentiel, le Makeblock mBot Robot est une porte d’entrée idéale vers la robotique et la programmation dès 8 ans. Son assemblage en 15 minutes, ses capteurs intuitifs (suiveur de ligne, détection d’obstacles) et l’interface mBlock, proche de Scratch, rendent l’apprentissage du code ludique et concret. Avec une note moyenne de 4,5/5, il allie solidité (alliage d’aluminium), compatibilité LEGO et évolutivité, transformant chaque défi technique en victoire éducative lors d’ateliers en famille ou en classe.
À la recherche d’un cadeau éducatif qui sort des écrans ? Notre Makeblock mBot Robot avis vous dévoile pourquoi ce robot pourrait surprendre par son apprentissage ludique. Après l’avoir testé avec un enfant de 10 ans, j’ai découvert un kit épatant de simplicité, mêlant assemblage en 15 minutes (avec des pièces en alliage d’aluminium solides) et programmation accessible via l’appli mBlock (inspirée de Scratch). Découvrez si ce mélange de jeu et d’éducation STEM mérite sa place sous le sapin, à travers notre retour détaillé sur ses modes interactifs, sa compatibilité LEGO, et même ses quelques limites comme l’absence de batterie incluse.
- Mon expérience avec Makeblock mBot Robot
- Les avantages et bénéfices
- Les limites ou inconvénients possibles
- Pour qui ce produit est fait ?
- Verdict final sur Makeblock mBot Robot
- Mon expérience avec le Makeblock mBot Robot
- Les fonctionnalités clés du mBot : un tremplin vers le code
- Les avantages et bénéfices concrets du mBot
- Les limites ou inconvénients possibles
- Makeblock mBot Robot : pour qui est-il vraiment fait ?
- Que pensent les utilisateurs ? analyse des avis clients
- Verdict final sur le Makeblock mBot Robot
J’ai longtemps cherché un cadeau qui sortirait mon neveu des écrans tout en stimulant sa curiosité. C’est comme ça que j’ai découvert le Makeblock mBot Robot. Ce petit robot, à la croisée entre construction mécanique et programmation, m’a tout de suite intrigué. Promis aux enfants à partir de 8 ans, il prétend initier à la robotique et au codage sans prise de tête. Mais est-ce vraiment le cas ?
Le mBot est un kit éducatif conçu pour apprendre les bases de la programmation et des concepts STEM (Science, Technologie, Ingénierie, Mathématiques) de manière ludique. Il combine un montage simple, une programmation intuitive via blocs visuels, et des fonctionnalités comme le suivi de ligne ou l’évitement d’obstacles. Dans cet article, je partage mon expérience de l’assemblage, les leçons apprises, les forces et limites de ce robot, et un verdict pour vous guider dans votre choix.
Mon expérience avec Makeblock mBot Robot
J’ai déballé le mBot avec excitation. La boîte contient des pièces en alliage d’aluminium, des moteurs, un capteur ultrasonique, et une carte mCore basée sur Arduino. L’assemblage, expliqué pas à pas dans un manuel illustré, a pris **une vingtaine de minutes**. Pas de soudure, juste des vis et des câbles à connecter. Mon neveu, 9 ans, a participé avec enthousiasme, même si les petites vis ont nécessité mon aide.
Une fois monté, le robot se transforme en une voiture autonome. Grâce à l’application mBlock, nous avons testé son mode suiveur de ligne et évitement d’obstacles. Le capteur ultrasonique détecte les murs à distance, et le suivi de ligne fonctionne dès qu’une ligne noire est tracée au feutre. La programmation s’effectue via blocs, comme dans Scratch, ce qui est accessible même pour les novices. En quelques heures, nous avons compris comment le faire danser en synchronisant sons et mouvements.
Les avantages et bénéfices
Le mBot brille par sa simplicité d’assemblage. En 15 à 30 minutes, l’électronique et la mécanique s’assemblent sans difficulté. Les instructions visuelles sont claires, et l’application mBlock propose même des guides 3D. C’est un bon premier contact avec les composants d’un robot : moteurs, capteurs, et câblage.
La programmation par blocs est un atout majeur. Les enfants découvrent les boucles, conditions, et variables en glissant-déplaçant des blocs colorés. En quelques clics, on crée un programme pour que le robot suive une ligne ou évite un obstacle. Ce mode d’apprentissage gamifié, avec des jeux intégrés, rend l’initiation au codage addictif.
- Connectivité Bluetooth : L’application mBlock permet de le commander à distance, idéal pour dessiner des parcours.
- Capteurs intégrés : Le capteur ultrasonique et le suiveur de ligne offrent des projets concrets dès le premier jour.
- Évolutif : Compatible avec LEGO et 500+ pièces Makeblock, on peut le transformer en robot araignée ou chat servo avec des extensions.
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Les limites ou inconvénients possibles
Pour les plus jeunes, l’assemblage peut être frustrant. Les petites vis se perdent facilement, et le manuel, bien que visuel, manque de détails pour les erreurs de câblage. Heureusement, les tutoriels en ligne et le support Makeblock pallient ce manque.
Le besoin de piles AA (non incluses) est un point noir. Leur remplacement, sous la carte mCore, est remplacement, sous la carte mCore, est fastidieux. De plus, la batterie rechargeable (optionnelle) coûte un supplément, ce qui alourdit le budget.
- Pas de Bluetooth sur tous les modèles : Certains utilisateurs devront acheter un dongle supplémentaire.
- Profondeur pédagogique limitée : Les tutoriels montrent « comment faire » sans expliquer les principes scientifiques derrière les capteurs.
- Fragilité : Les moteurs et capteurs résistent mal aux chutes ou manipulations brutales.
Pour qui ce produit est fait ?
Le mBot convient aux enfants de 8 à 12 ans curieux de robotique. Il est parfait pour les parents souhaitant initier leur enfant à la logique algorithmique sans écran trop présent. Les enseignants l’utiliseront en classe pour des ateliers STEM interactifs.
Pour les débutants complets, le mode jeu de l’application mBlock est une porte d’entrée idéale. Les plus âgés (12 ans+) apprécieront la transition vers le langage Arduino pour des projets plus complexes. Cependant, les tout-petits (moins de 8 ans) auront besoin d’un adulte pour l’assemblage et les premières programmations.
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Verdict final sur Makeblock mBot Robot
J’ai été convaincu par le mBot. Il réussit le défi de rendre le codage ludique tout en restant éducatif. L’équilibre entre construction manuelle et logique informatique est bien calibré. Si vous cherchez un cadeau qui allie créativité et apprentissage, c’est un choix solide.
Cependant, prévoyez un budget pour les packs d’extension et la batterie rechargeable. Le mBot est un début, pas une fin. Pour des projets avancés, il faudra investir dans d’autres modules. Mais pour les bases, c’est un excellent tremplin.
| Options | Prix | Inclus |
|---|---|---|
| mBot seul | 59.99$ | Robot, manuel, câbles, carte mCore |
| mBot + Coding Box | 79.99$ | mBot + coffret de défis de programmation |
| mBot + Bluetooth Dongle | 79.99$ | mBot + clé Bluetooth pour contrôle smartphone/tablette |
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Mon expérience avec le Makeblock mBot Robot
En ouvrant la boîte du Makeblock mBot, j’ai été immédiatement conquis par son potentiel pédagogique. Cet outil éducatif promet d’initier les enfants à la programmation et aux concepts STEM de manière ludique. Mon objectif était simple : vérifier si ce robot alliait réellement apprentissage et plaisir.
Le déballage et les premières impressions
Le colis contenait une multitude de pièces en alliage d’aluminium, un matériau bien plus robuste que le plastique classique des jouets éducatifs. Les connecteurs, moteurs et capteurs étaient soigneusement rangés dans des compartiments distincts, ce qui facilitait l’identification. La présence d’outils de montage (tournevis inclus) m’a rassuré sur l’accessibilité du produit, même pour les familles sans matériel technique à disposition.
L’assemblage : un jeu d’enfant (ou presque)
L’assemblage, d’une durée estimée à 15-20 minutes, s’est révélé intuitif. Les instructions visuelles simplifiées, illustrées de schémas clairs, guidaient chaque étape sans ambiguïté. J’ai particulièrement apprécié la solidité des attaches mécaniques, qui évitent les frustrations d’un montage bancal. C’est un projet idéal pour un adulte et un enfant curieux, mêlant découverte technique et complicité familiale.
Les premiers pas : de la télécommande au code
Dès les premières utilisations, le mBot m’a bluffé par sa polyvalence. En mode « évitement d’obstacles », le capteur à ultrasons détectait les objets à moins de 9 cm, déclenchant un virage fluide. En mode « suiveur de ligne », le robot suivait une trajectoire noire sur une feuille A3, grâce à son capteur de lumière intégré. Ces fonctionnalités préprogrammées ont suscité mon intérêt pour la programmation.
J’ai téléchargé l’application mBlock, une interface inspirée de Scratch. En quelques clics, j’ai codé un programme pour faire clignoter la LED en bleu lors d’un virage. La transition entre les blocs visuels et le code Arduino m’a semblé progressive, idéale pour un débutant. Ce passage du concret à l’abstrait m’a convaincu de l’efficacité pédagogique du mBot.
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Le Makeblock mBot Robot initie les enfants à la programmation et au STEM. Montage rapide (15 min) avec châssis en alliage d’aluminium. L’apprentissage se fait via l’appli mBlock (Scratch/Arduino) et des ressources pédagogiques variées. Compatible avec LEGO avec quelques limites : piles non fournies, activités en anglais et utilisation d’un smartphone/tablette pour le Bluetooth.
| Avantages | Inconvénients |
|---|---|
| ✅ Montage facile et rapide (environ 15 min) | ❌ Piles ou batterie rechargeable non incluses |
| ✅ Apprentissage ludique du code (Scratch & Arduino) | ❌ Certaines fiches d’activités sont en anglais |
| ✅ Matériaux robustes et de qualité (alliage d’aluminium) | ❌ Nécessite un smartphone/tablette pour l’app Bluetooth |
| ✅ Grande compatibilité et évolutivité (LEGO, extensions) | |
| ✅ Ressources pédagogiques riches (cours, tutoriels) |
Malgré ces limites, le mBot est idéal pour initier les enfants à la robotique avec un outil éducatif et ludique pour familles et écoles.
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Les fonctionnalités clés du mBot : un tremplin vers le code
Une conception pensée pour les débutants
Lorsque j’ai déballé la boîte, j’ai été surpris par la simplicité des pièces. Le mBot s’assemble en 15 minutes maximum, grâce à des instructions visuelles claires. Les connecteurs mécaniques en alliage d’aluminium évitent les frustrations : pas de vis qui se coincent, pas de plastique fragile. C’est un vrai kit d’ingénierie, solide et conçu pour tenir dans le temps, même après plusieurs montages-démontages. Les enfants peuvent manipuler les pièces sans risque de les casser facilement.
La programmation par blocs avec mBlock
J’ai découvert mBlock, un logiciel gratuit et open-source. Basé sur Scratch, il permet de programmer en glissant-déposant des blocs logiques. C’est intuitif : même sans expérience, on comprend vite comment faire bouger le robot. Les enfants peuvent débuter sur ordinateur ou tablette, sans frais supplémentaires. Ce qui m’a marqué, c’est la gamification : des jeux et niveaux progressifs transforment le codage en défi ludique. En quelques séances, mon neveu de 9 ans créait déjà des séquences simples. La transition vers Arduino (C++) est possible pour les plus avancés, assurant une évolutivité.
Le mBot est conçu pour que les enfants puissent apprendre le codage en seulement 10 minutes par jour, transformant une discipline intimidante en un jeu quotidien et accessible.
Des capteurs pour interagir avec le monde réel
Le mBot est équipé de capteurs qui lui donnent vie :
- Capteur à ultrasons : Il agit comme les « yeux » du robot, lui permettant de détecter et d’éviter les obstacles sur son chemin.
- Capteur suiveur de ligne : Il permet au mBot de suivre une ligne noire tracée au sol, une introduction parfaite aux algorithmes de suivi.
- Capteur de lumière et émetteur IR : Ils permettent au robot de réagir à la lumière ambiante et de communiquer avec sa télécommande ou d’autres robots mBot.
- Buzzer intégré : Pour ajouter des effets sonores, des mélodies simples et donner une « voix » au robot.
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Une évolutivité impressionnante
J’ai testé les Add-on Packs : en 10 minutes, j’ai transformé le mBot en robot araignée à six pattes. La compatibilité avec 500+ pièces Makeblock et les briques LEGO ouvre des possibilités infinies. Mon neveu a construit un chat robotique en combinant des LEGOs. Ce qui m’a convaincu, c’est la progression pédagogique : on passe du codage visuel au texte (Arduino), préparant les enfants à des compétences techniques avancées. Ce n’est pas un jouet statique, mais une plateforme d’apprentissage évolutive.
Les avantages et bénéfices concrets du mBot
Un apprentissage STEM accessible et amusant
J’ai été surpris de voir mon neveu de 9 ans s’immerger dans les boucles, les conditions ou les capteurs en assemblant le robot en 15 minutes avec les notices visuelles. Dès les premières commandes, les roues tournaient, les LEDs clignotaient. Ce lien entre code et action transforme des notions abstraites en expériences concrètes. Le logiciel mBlock, avec ses blocs visuels, rend la programmation aussi intuitive que construire avec des pièces de construction. En quelques semaines, il créait des routines pour éviter les obstacles ou synchroniser des sons avec des mouvements.
Le développement de la créativité et de la résolution de problèmes
Pour programmer un « robot danseur », mon neveu a testé des séquences, ajusté des durées, répété des tests après des échecs. Ce processus ludique renforce la persévérance et la pensée critique. Les capteurs (lumière, ultrasons, suivi de ligne) offrent des défis concrets : détection des obstacles, identification des couleurs, création de mélodies. Chaque succès renforce sa confiance. Ce n’est pas qu’un jouet, mais un laboratoire mobile où l’ingéniosité s’exerce naturellement. Et quand la batterie faiblit, il apprend à diagnostiquer la cause — une leçon de dépannage inattendue !
Les limites ou inconvénients possibles
L’alimentation : un détail à ne pas oublier
Lors de mon utilisation du mBot, j’ai rapidement constaté que le robot n’intègre pas de batterie interne. Pour fonctionner, il faut prévoir soit 4 piles AA, soit une batterie LiPo rechargeable vendue séparément. L’autonomie avoisine une heure, ce qui reste suffisant pour des sessions courtes mais peut limiter les projets plus ambitieux. J’ai personnellement opté pour la batterie LiPo (référence MB//RB80) : même si elle représente un coût supplémentaire, elle s’avère plus économique à long terme.
La barrière de la langue pour certaines ressources
Le logiciel mBlock est entièrement traduit en français, ce qui facilite l’apprentissage. En revanche, les fiches d’activités avancées sont souvent disponibles uniquement en anglais. Pour les parents non anglophones, cela peut poser des difficultés. Les bases sont bien expliquées, mais les projets les plus complexes nécessitent parfois une aide extérieure. Ce n’est pas un frein majeur, mais une information à garder en tête si vous comptez exploiter les fonctionnalités les plus poussées.
La distinction avec le mBot2 : faut-il passer au modèle supérieur ?
Le mBot2 représente l’évolution du modèle classique. Son contrôleur CyberPi, la connectivité Wi-Fi et ses moteurs à encodeurs offrent des possibilités élargies pour l’IoT et les mouvements précis. Pour les projets scolaires ou les passionnés cherchant à aller plus loin, le mBot2 s’impose comme une alternative intéressante. Cependant, le mBot initial reste une excellente entrée de gamme abordable.
Alors que le mBot classique est une porte d’entrée parfaite et économique, le mBot2 s’adresse à ceux qui veulent explorer plus loin avec des projets connectés et une précision accrue.
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Makeblock mBot Robot : pour qui est-il vraiment fait ?
Le Makeblock mBot Robot s’adresse aux parents souhaitant initier leurs enfants à la technologie de manière ludique. Dès 8 ans, les jeunes construisent et programment le robot seuls grâce à un assemblage rapide et une interface visuelle. Pour les 6-7 ans, l’aide d’un adulte transforme la construction en projet collaboratif, mêlant découverte technique et complicité familiale. Ce kit éducatif allie jeu et apprentissage des concepts STEM de façon interactive.
Les enseignants y trouveront un outil adapté aux ateliers STEM ou cours de technologie. Sa compatibilité avec LEGO et 500+ accessoires Makeblock adapte les activités à tous les niveaux scolaires. Des ressources gratuites (tutoriels, projets) facilitent son intégration pédagogique, tandis que la connectivité Bluetooth modernise l’approche éducative.
Pour les novices de tout âge, ce kit propose une progression progressive vers la programmation. Les adultes découvrent les bases d’Arduino avec une évolution vers le langage C++. Son apprentissage structuré convient aux élèves et auto-didactes en quête d’une initiation ludique à la robotique.
- Enfants (8 ans) : Mélange jeu/apprentissage des bases techniques dès le primaire
- Familles : Activité parent-enfant à partir de 6 ans, renforçant les liens familiaux
- Enseignants : Support polyvalent pour ateliers interactifs ou cours
- Débutants : Découverte accessible d’Arduino et programmation textuelle
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Que pensent les utilisateurs ? analyse des avis clients
Des dizaines d’avis en ligne soulignent le potentiel pédagogique du Makeblock mBot Robot. Parents et enseignants louent sa facilité d’assemblage – un père témoigne avoir construit le robot avec son enfant de 10 ans en 15 minutes, sans outil spécifique. L’équilibre entre éducation et amusement est souvent mis en avant, avec des retours comme « mon enfant n’a pas vu le temps passer ».
L’application mBot, décrite comme « intuitive comme un jeu vidéo », permet une programmation visuelle (par blocs) puis évolutive vers Arduino. Un utilisateur explique que son fils de 12 ans a compris les bases en quelques jours grâce aux défis interactifs. Le service client est également plébiscité : un client a reçu gratuitement un contrôleur mCore après un problème technique, renforçant la confiance en la marque.
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Certaines critiques notent que les notices de base sont succinctes, notamment sur l’utilisation des capteurs à ultrasons ou l’émetteur IR, nécessitant des tutoriels en ligne. Un enfant de 8 ans seul pourrait buter sur la complexité du code. Cependant, avec un adulte, ce robot devient un outil particulièrement efficace pour allier construction physique et logique informatique de façon ludique.
Verdict final sur le Makeblock mBot Robot
Après plusieurs semaines d’utilisation, le Makeblock mBot s’impose comme un outil éducatif réussi. Son châssis en alliage d’aluminium garantit une solidité optimale, tandis que l’écosystème logiciel mBlock transforme l’apprentissage du code en jeu. En 15 minutes, les enfants montent le robot, puis explorent la programmation par blocs avant de s’initier à Arduino. Un vrai tremplin vers les métiers de demain.
Quelques limites persistent : la batterie LiPo 3,7V n’est pas fournie, et certaines documentations restent en anglais. Ces détails s’effacent vite. Grâce à ses modules et packs d’extension (six pattes, suiveur de lumière…), le mBot évolue avec l’enfant, justifiant son coût sur le long terme.
Pour les parents, grands-parents ou enseignants souhaitant initier les jeunes aux STEM de manière ludique, le Makeblock mBot est un choix judicieux. Bien plus qu’un jouet, il offre un laboratoire d’expériences alliant mécanique et électronique dans un format accessible.
- On a aimé : Châssis robuste, transition vers le codage avancé, évolutivité avec des modules.
- On a moins aimé : Batterie non incluse, documentations partiellement en anglais.
- Verdict : Idéal pour découvrir la robotique dès 6 ans avec accompagnement.
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Le mBot a convaincu après plusieurs semaines d’essai. Solide et ludique, son potentiel évolutif en fait une porte d’entrée en robotique. Les piles absentes et ressources en anglais n’enlèvent rien à son excellent rapport qualité-prix. Pour jeunes curieux ou enseignants, c’est une valeur sûre pour STEM. Un investissement malin pour les compétences tech de demain.
FAQ
Makeblock est-il vraiment adapté aux débutants en robotique ?
J’ai testé le mBot avec mon neveu de 9 ans, qui n’avait jamais touché de robot. Honnêtement, je craignais que l’assemblage soit frustrant, mais les instructions visuelles sont si claires qu’on a monté le tout en 15 minutes chrono. Le mélange entre les pièces en alliage d’aluminium (solides, pas du plastique fragile) et l’interface mBlock, proche de Scratch, m’a convaincu. Pour les enfants à partir de 8 ans, c’est une porte d’entrée idéale. Les plus jeunes auront besoin d’un adulte, mais c’est aussi une activité familiale sympa.
Quels sont les principaux avantages du mBot pour l’apprentissage ?
En plusieurs semaines d’utilisation, j’ai noté que le mBot brille par son équilibre entre simplicité et profondeur. Déjà, les capteurs (ultrasons, suiveur de ligne) permettent des projets concrets, comme un robot évitant les murs. Ensuite, la programmation par blocs est intuitive, mais on peut passer à l’Arduino pour les plus motivés. Ce qui m’a surpris, c’est la solidité : malgré les chutes de mon neveu, rien ne s’est cassé. Enfin, les ressources pédagogiques (tutoriels, jeux dans l’app) rendent l’apprentissage ludique. Un défaut mineur : les piles ne sont pas fournies, mais c’est un détail.
Quel mBot choisir entre le classique et le mBot2 ?
J’ai comparé les deux modèles, et le choix dépend vraiment du niveau. Le mBot classique, c’est mon favori pour les 8-12 ans : il coûte moins cher (environ 70€) et se maîtrise vite. L’apprentissage se fait en douceur, de la télécommande au code. Le mBot2, en revanche, s’adresse aux passionnés de 12 ans et + qui veulent aller plus loin. Avec son CyberPi, il supporte le Wi-Fi, le Python, et des capteurs plus avancés (gyroscope, microphone). Mon conseil ? Commencez par le classique, et passez au mBot2 quand l’enfant maîtrise les bases. C’est comme apprendre à nager avec des brassards avant de plonger sans filet.
Makeblock est-elle une entreprise chinoise fiable ?
En fouillant un peu, j’ai appris que Makeblock est basé à Shenzhen, en Chine. Au départ, j’étais sceptique : une marque asiatique, serait-elle à la hauteur en qualité ? Mais en testant le mBot, mes doutes se sont envolés. Les pièces sont bien finies, les manuels sont en français, et leur service client m’a répondu en 24h quand j’ai eu un souci avec la carte électronique. En plus, leur partenariat avec LEGO pour la compatibilité des pièces montre leur sérieux. Bref, même si l’usine est chinoise, l’approche pédagogique est internationale et adaptée aux besoins européens.
Quel est le prix du robot mBot en France ?
Sur Amazon, le mBot est vendu autour de 70€, un prix raisonnable pour ce qu’il propose. J’ai vérifié chez d’autres vendeurs, mais les prix varient peu. Ce qu’il faut prévoir en plus, c’est l’alimentation : soit 4 piles AA (pas écologique), soit une batterie LiPo rechargeable à 20-30€ supplémentaires. En revanche, les accessoires (comme le pack six pattes) sont à acheter à part, ce qui peut vite monter. Pour un premier achat, je recommande de rester sur le kit de base pour tester, puis d’ajouter les extensions selon l’intérêt de l’enfant.
Qui est le propriétaire de Makeblock ?
J’ai cherché qui se cache derrière Makeblock, et c’est une entreprise indépendante fondée en 2012, pas une filiale de géant technologique. Ce qui m’a rassuré, c’est leur communauté active : plus de 30 millions d’utilisateurs et 25 000 écoles qui utilisent leurs outils. Bien sûr, ce n’est pas LEGO ou Apple, mais leur engagement éducatif se sent dans les ressources gratuites (cours, forums). En cas de problème, le SAV est réactif, ce qui compense leur moindre visibilité en France.
Comment fonctionne le mBot concrètement ?
En montant le mBot avec mon neveu, j’ai compris pourquoi il est si populaire. Une fois assemblé, on l’a d’abord guidé via la télécommande, en mode « suiveur de ligne », ce qui est immédiat. En passant à l’app mBlock, on a programmé un « danse » en glissant des blocs de mouvement. Ce qui m’a étonné, c’est à quel point les capteurs réagissent vite : le robot évite un mur en 0,1 seconde. La seule limite, c’est la batterie (1h max), mais c’est normal pour un jouet éducatif.
Quel est le rôle de la carte mCore du mBot ?
La mCore, c’est le cerveau du mBot. J’ai ouvert la boîte pour voir : c’est une carte Arduino Uno améliorée, avec des capteurs intégrés (lumière, son) et des ports RJ25 colorés pour brancher les moteurs. Ce qui m’a impressionné, c’est la simplicité pour connecter des capteurs supplémentaires, comme un détecteur de mouvement. Même sans être bricoleur, on s’y retrouve grâce aux codes couleur. C’est un bon compromis entre un jouet et un vrai outil d’ingénierie.
Quels langages de programmation le mBot supporte-t-il ?
J’ai testé la programmation avec mon neveu, et c’est là que le mBot brille. On a commencé par les blocs visuels dans mBlock, façon « Lego du code », puis on a découvert la transition vers l’Arduino. Pour les ados motivés, c’est un tremplin vers le C++. Ce que j’aurais aimé en plus, c’est du Python, mais c’est réservé au mBot2. Néanmoins, pour un premier contact avec le codage, les blocs suffisent amplement. En fait, c’est comme apprendre les bases en musique avec des percussions avant de passer au piano.